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LAHOR Jean

« Œuvres – En Orient »

 

Paris, Alphonse Lemerre, 1907, in-12, 233 pp., relié.

 

Reliure pleine toile, dos lisse, pièce de titre en maroquin marron, titrage doré, fleuron, filets et année en queue, coiffes émoussées, couvertures conservées.

 

Envoi signé de l'Auteur en page de faux-titre « Au cher poète Aug. Dorchain – Jean Lahor ».

 

En Orient se compose des poèmes suivants :

Les Quatrains d'Al-Ghazali – Quatrains d'Omar-Kheyam – Le Cantique des Cantiques – L'Idole.

 

[Henri Cazalis (1840-1909) est un médecin et poète symboliste français.

Il se fit connaître sous le pseudonyme de Jean Caselli et, surtout, de Jean Lahor.

 

Docteur respecté, ses patients se nomment Maupassant et Verlaine. Poète symboliste attiré par les images de la mort, il combine littérature et carrière médicale.

 

Connu pour "Le Livre du Néant" (1872) et "L’Illusion" (1875), on le nomme "l’Hindou du Parnasse contemporain" vu son penchant pour la pensée orientale.

 

Il fréquente les Parnassiens, se lie avec Mallarmé et forme avec Sully Prudhomme la Société de Protection des Paysages et de l’Esthétique de la France, en 1901. Il entretint une correspondance avec Stéphane Mallarmé de 1862 à 1871.

 

Ses poèmes sont repris par les compositeurs Saint-Saëns, Duparc, Chausson et Hahn.

 

 

Auguste Dorchain (1857-1930) est un écrivain et un poète français.

 

Il conservera de ses études une admiration très grande pour Corneille. En 1918, il lui consacrera même une biographie.

 

Il vient à Paris faire son droit. Mais, attiré par les lettres, il fréquente assidûment le Théâtre de l'Odéon, le Luxembourg, les cercles littéraires. Il envoie ses vers à La Plume, La Nouvelle Revue, L'Artiste. Il est remarqué par Sully Prudhomme et devient son disciple préféré ; il est également encouragé par François Coppée.

 

En 1881, son premier recueil de poésies "La Jeunesse pensive" obtient un grand succès et l'ouvrage est couronné par l'Académie française.

 

Paul Porel, directeur de l'Odéon lui commande alors un poème pour le centenaire de ce théâtre. Par la suite, il écrit, sur commande, des « à propos » pour les théâtres.

 

En 1894, il publie un recueil de poésies "Vers la lumière" qui lui vaut une récompense de l'Académie française et la Légion d'honneur.

 

Il fut l'ami de l'organiste Charles-Marie Widor, avec lequel il a écrit plusieurs œuvres.

 

Source : Babelio] 

LAHOR Jean « Œuvres – En Orient » - Envoi de l'Auteur

SKU : Réf.424
90,00 €Prix
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